jeudi 2 novembre 2017

Etreindre un arbre serait bon pour la santé...


Etreindre un arbre serait bon pour la santé...


Chrysanthème


Dans les jardins en deuil ta frileuse parure
Jette une note gaie et sur les tapis d'or
Par l'automne étendus, tes rameaux de verdure
Font croire que l'hiver est loin de nous encor...

Extrait poème
Le Chrysanthème - Honoré Harmand

 

Mante-religieuse sur chrystanthème

La mante religieuse, gros insecte mais pas méchant pour l'homme...

seulement pour son mâle qu'elle dévore après l'accouplement !

Cette affirmation est en réalité - partiellement - une idée reçue !
C'est vrai : parfois la femelle mange le mâle pendant l’accouplement. Elle commence par la tête pendant que le corps du mâle continue à s’accoupler ! Mais ce n’est pas systématique, si la femelle n’a pas faim, elle ne le mangera pas. Mais si elle a faim, une proie facile - le male est plus petit que la femelle - à portée de ses pattes ravisseuses... c’est trop tentant ! Il arrive aussi que deux femelles qui se rencontrent, se battent et se dévorent. Les insectes prédateurs sont en effet souvent cannibales.
Mais les mantes ne sont pas les seules à manger leurs mâles. D’autres insectes prédateurs sont tentés lorsque les mâles sont plus petits. C'est également le cas chez les araignées : les mâles se méfient terriblement des femelles et partent à toute vitesse dès que l’accouplement est terminé !


Photo de mante-religieuse sur chrystanthème


Courleurs d'automne






samedi 29 avril 2017

Barbe d'iris

barbe iris violet

La barbe d'un iris dont la fonction principale est d'attirer les insectes pollinisateurs vers les organes sexués de la fleur a également des atouts esthétiques évidents. Un iris bleu à barbe bleue a moins d'impact que le même iris doté d'une barbe d'une couleur différente de la fleur.



mardi 25 avril 2017

Etang de Cazeneuve




Un cadre calme et verdoyant...

 






Situé en Isère (Châtonnay)

Cimetière abandonné...


Un cimetière où la nature a repris ses droits...




 
 


 


J’ai écrit ton nom…
 
J’ai écrit ton nom sur le sable,
Mais la vague l’a effacé.
J’ai gravé ton nom sur un arbre,
Mais l’écorce est tombée.
J’ai incrusté ton nom dans le marbre,
Mais la pierre a cassé.
J’ai enfoui ton nom dans mon cœur,
Et le temps l’a gardé.